
lance son sixième album en carrière, , dont il signe les paroles et la musique. Les neuf nouvelles chansons lumineuses et ingénieuses seront disponibles en prévente sur toutes les plateformes Vous avez déjà pu entendre les deux premiers extraits, Kaléidoscope et Limousine, dévoilés dans les dernières semaines.
L’album produit chez Audiogram est marqué par les sonorités de la guitare acoustique et des synthétiseurs, et mélange habilement les langues, les époques et les influences musicales de Damien. D’une chanson à l’autre, l’auteur-compositeur-interprète visite le dance des années 1990 (Kaléidoscope, Point de non-retour), le country disco (Désynchronisé) et le folk-pop des années 1970 (Paruline Paruline).
Ultraviolet compte deux chansons en anglais, soit (She’s Got That) Je ne sais quoi, qui ouvre l’album, ainsi que Superheroine, qui boucle l’écoute.
Ultraviolet est soigneusement construit. Carl Bastien en signe la réalisation et Nicolas Roberge la prise de son. Tous deux ont également pris part au mixage. Richard Addison de Trillium Sound a quant à lui collaboré au matriçage de l’album.
(She’s Got That) Je ne sais quoi est inspirée par la musique électro et dance des années 1990. Elle marie le français et l’anglais avec un texte ludique.
Kaléidoscope est la première chanson que Damien a terminée dans son processus de création, donnant ainsi le ton à l’album. Elle évoque une douce nostalgie et mélange adroitement les références à différentes époques. « Parfois, il suffit de faire tournoyer les éléments de nos souvenirs et de notre conscience pour changer notre perspective de la réalité », confie Damien.
Limousine est traversée par la guitare acoustique. La limousine sert de métaphore pour ouvrir l’imagination face à des paysages qui défilent comme dans un film. « C’est la liberté d’un road trip, un voyage dans lequel on voudrait étirer le temps », explique Damien.
Désynchronisé est festive et teintée par le country, le disco et le banjo.
Paruline Paruline évoque le folk-pop des années 1970. Elle est inspirée du son de Paul McCartney et de Nick Drake.
Point de non-retour pige dans les influences dance des années 1990, avec une touche de guitare acoustique.
Ultraviolet rappelle le reggae des années 1990. Elle tisse un réseau d’images éblouissantes, et le thème de la lumière y occupe une place centrale.
Aurores boréales dévoile une douce poésie et offre une mélodie alliant piano et synthétiseurs.
Superheroine arbore quelques touches gospel. Elle parle du désir d’être sauvé et pose un regard nouveau sur la figure du héros – ou plutôt de l’héroïne.
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